Finalisation du KeyHole
Après plusieurs simulations, quelques idées originales, nous avons trouvé un compromis entre les fonctionnalités, la facilité d’usage, de mise en place. Nous avons aussi pensé à l’esthétique et la possibilité de garder une certaine modularité dans le temps (maintenance).
Nous sommes donc partis sur une harmonisation des matériaux en gardant les mêmes matériaux (Bangkiraï) pour sa solidité dans le temps et l’homogénéité avec les bordures extérieures (4 bordures de 30 cm x 140 cm enfoncées dans le sol de 25cm). Le fond du compost est composé d’une grande pierre plate.
Après avoir fixé ces bordures (3 bordures de 30 cm x 140 cm) de part et d’autres du chemin d’accès (constitué de pierre plates récupérées et placées sur le sol simplement soit 3 heures de travail), nous avons utilisé des planches de bangkiraï pour solidariser ces bordures avec des vis en inox (2 heures de travail).
4 piquets enfoncés de dans le sol terminent la rigidité des bandes latérales qui épousent le compost.
Le toit du compost est recouvert des mêmes bandes de bordures supperposées (4 bandes de bangkiraï 60 x 140 dont la permière est coupée sur la longueur pour faire correspondre les hauteurs et arriver avec la dernière bande juste au dessus du niveau du cylindre du compost). Elles sont fixées au cylindre du compost avec des fils galvanisés (la bordure supérieure fait le tour complet du compost afin de le cacher) et éviter la chute de terre dans le composte (1 heures de travail).
Et pour finaliser le compost, des planches de bankiraï sont découpées en épousant la forme du sommet du compost pour fermer ce dernier (1 heure de travail). Une découpe sera réalisée pour y ouvrir un plus petit accès, plus léger, pourvu d’une charnière afin de faciliter l’ouverture et la fermeture tout en garantissant le placement et la rigidité du couvercle et éviter qu’il ne s’envole par vents violents. Quelques brouettes de terre viennent combler les tranchées de part et d’autres des bordures du chemin d’accès et autour du KeyHole.